Bien comprendre ce qu'est la Révolution
22/08/2021 12:15 par RENEPE
Etant physiquement en acte dans certains pays, ou simplement au niveau des principes dans d’autres, il est important, si nous voulons la combattre au moins sur le plan spirituel, de bien comprendre ce qu’elle est, au-delà des définitions des dictionnaires, et c’est le but de cet article. Mais il est tout aussi important, de bien comprendre comment se manifeste l’esprit révolutionnaire chez les personnes qui, peut-être inconsciemment, sont entachées de cet état d’esprit les faisant agir en contradiction avec leur profession de foi, et les quatre causes qui façonnent l’esprit révolutionnaire (dans une prochaine publication, si Dieu veut)
La meilleure définition de la Révolution (toujours à l’œuvre) qui ait été donnée, celle qui ne s’arrête pas seulement aux phénomènes, est celle de Mgr Gaume (2)
« Si, arrachant le masque de la Révolution, vous lui demandez : Qui es-tu ? Elle vous dira : « Je ne suis pas ce que l’on croit. Beaucoup parlent de moi, et bien peu me connaissent. Je ne suis ni le carbonarisme (2) qui conspire dans l’ombre, ni l’émeute qui gronde dans la rue, ni le changement de la monarchie en République, ni la substitution d’une dynastie à une autre, ni le trouble momentané de l’ordre public. Je ne suis ni les hurlements des Jacobins, ni les fureurs de la Montagne, ni le combat des barricades, ni le pillage, ni l’incendie, ni la loi agraire, ni la guillotine, ni les noyades. Je ne suis ni Marat, ni Robespierre, ni Babeuf, ni Mazzini, ni Kossuth. »
Plus d’un lecteur se dira « si toutes ces personnes et ces choses ne sont pas la Révolution, alors, qu’est-ce que c’est ? »
Et Mgr Gaume répond :
« Ces hommes sont mes fils, ils ne sont pas moi. Ces choses sont mes œuvres, elles ne sont pas moi. Ces hommes et ces choses sont des faits passagers (…) »
En fait, toutes ces choses et personnes sur lesquelles nous appliquons le mot Révolution ne sont que « des faits passagers » ; ce ne sont que des moyens, des instruments que la Révolution utilise selon l’état de préparation des esprits à un moment donné du temps. Pour bien montrer ce qui la caractérise par-dessus tout, au-delà des personnes et des idéologies qui la servent, il ajoute la concernant :
« (…) et moi je suis un état permanent. Je suis la haine de tout ordre religieux et social que l’homme n’a pas établi et dans lequel il n’est pas roi et Dieu tout ensemble ; je suis la proclamation des droits de l’homme contre les droits de Dieu ; je suis la philosophie de la révolte, la politique de la révolte, la religion de la révolte ; je suis la négation armée ; je suis la fondation de l’état religieux et social sur la volonté de l’homme au lieu de la volonté de Dieu ; en un mot, je suis l’anarchie ; car je suis Dieu détrôné et l’homme à sa place. Voilà pourquoi je m’appelle Révolution, c’est-à-dire renversement, parce que je mets en haut ce qui, selon les lois éternelles, doit être en bas, et en bas ce qui doit être en haut. »
Etant d’essence satanique, la Révolution de 1789 fut préparée depuis la Renaissance, prendra pied et se développera dans la société chrétienne en s'appuyant sur trois supports : l'humanisme des Kabbalistes, la révolte religieuse de Luther avec la Réforme protestante et le faux rationalisme philosophique de Descartes. Elle est, par ces trois supports et vecteurs, le fruit éclos de sectes et de personnes nourries de Kabbale juive comme son paravent et auxiliaire, la Franc-maçonnerie. La Révolution qui est intrinsèquement antichrétienne, et antichrist par le fait même, s’avère être, elle-même, une religion, mais une religion inversée bâtissant sur la volonté de l’homme ( au lieu de la volonté de Dieu ) une religiosité et une société inversées avec sa culture de mort et de débauche, ses lois, ses commémorations, ses fêtes, ses rituels, ses '' saints '' (au Panthéon) et sa philosophie, dont l’objectif a toujours été de détruire l’ordre social, moral et spirituel chrétien en façonnant socialement, moralement et spirituellement la société humaine selon ses principes inversées, pour la préparer à l’avènement et l’accueil, à terme, de son odieux et tyrannique représentant religieux et temporel : l’antéchrist ou faux messie qu’attendent les Juifs, puisque le vrai Messie est déjà venu comme homme de douleur et Rédempteur. Quant aux chrétiens, ils attendent son retour en gloire.
(A suivre…« La marque et les causes de l’esprit révolutionnaire »…si Dieu veut)
- C'est moi qui mets les notes et en gras dans les textes de Mgr Gaume.
(2) Monseigneur Jean-Joseph Gaume (1802-1879) : Protonotaire apostolique, vicaire général de Reims, de Montauban, d’Aquila, docteur en théologie, chevalier de l’ordre de Saint-Sylvestre, membre de l’Académie de la religion catholique de Rome, de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Besançon, etc., dans recherches historiques sur la Révolution en 12 volumes – 1856.
(3) Le carbonarisme, ou société secrète des Carbonari, est une Franc-Maçonnerie fondée à Naples pendant l’occupation napoléonienne. Elle est présentée pour le grand public comme une entreprise politique qui réalisa, en Italie, l’unité italienne contre le pouvoir temporel des Papes, et combattit la Restauration monarchique en France. En réalité, la question politique est secondaire, il hait et combat l’Eglise catholique et la monarchie catholique des Bourbons.
René Pellegrini
Mis sur un autre blogue le 4 décembre 2013
PREUVES SCRIPTURAIRES DE LA ROYAUTE DE JESUS-CHRIST - 1 :
ANCIEN TESTAMENT - 1
« (….) Et moi, j’ai établi mon roi sur Sion, sa montagne sainte (….) demande, je te donnerai les nations pour héritage, pour domaine les extrémités de la terre (….) Et moi, je t’ai établi mon roi sur Sion, ma montagne sainte (….) » (Psaumes II,6 et 8 )
En disant « moi », c’est avec vigueur que Dieu proclame le décret instaurant la royauté de son Fils Jésus-Christ sur toutes les nations. Dieu étant créateur et maître de l’univers, s’attaquer à Jésus, le Messie, en tant que Fils de Dieu et héritier, ou lui refuser cette domination universelle, c’est s’attaquer à Dieu Lui-même.
« Ton trône, ô Dieu, est établi pour toujours ; le sceptre de la royauté est un sceptre de droiture. » (Psaumes XLIV, 7) (1)
Pour dissimuler la divinité de Jésus-Christ, les Témoins de Jéhovah, ces champions de la ‘’vérité’’ modulable, en adéquation avec l’exégèse purement rationaliste, n’hésitent pas à falsifier ce texte de la Sainte Ecriture en l’écrivant ainsi « Dieu est ton trône jusqu’à des temps indéfinis, oui, pour toujours ; le sceptre de ta royauté est un sceptre de droiture » (2)
Falsification en même temps qu’irrévérence à l’égard de Dieu : Jésus-Christ s’asseyant sur son Père. Evidence de cette forfaiture car Saint Paul reprenant les paroles du Psaume XLIV, 7) (3), applique ce verset, indiquant la qualité divine du Fils de Dieu, à Jésus-Christ.
« A la vérité, l’Ecriture dit touchant les anges : « qui fait de ses anges des vents, et de ses ministres une flamme de feu ; mais au Fils : « Votre trône, ô Dieu, est dans les siècles des siècles ; un sceptre d’équité est le sceptre de votre empire ». (Hébreux I, 8 )
Autre texte établissant la divinité de Jésus-Christ :
« Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné ; l’empire a été posé sur ses épaules, et on le nomme, Admirable, Conseiller, Dieu, Fort, Père éternel, Prince de la paix. Son empire s’étendra et la paix n’aura point de fin ; il siégera sur le trône de David et possédera son royaume, il l’établira et l’affirmera par le droit et la justice dès maintenant et pour toujours. » (Isaïe IX, 6-7)
Les mots formels que la prophétie utilise pour décrire ce nouveau-né « Admirable, Conseiller, Dieu, Fort, Père éternel, Prince de la paix » et dont la vie devra manifester et réaliser pleinement la signification, ne laisse aucun doute sur la divinité de la personne désignée : Jésus, le Messie.
(A suivre...« Preuves scripturaires de la Royauté universelle de Jésus-Christ : Ancien Testament - 2 »...si Dieu veut)
(1) Dans la Bible des Témoins de Jéhovah appelée : Les Saintes Ecritures traduction du monde nouveau. Edition de 1974, et traduite d’après le texte révisé de l’édition anglaise de 1971.
(2) Pour ceux qui ne posséderaient qu’une Bible protestante, il faut lire Psaumes XLV, 7 car du Psaumes IX au Psaumes CXLVI (146) inclusivement, les bibles catholiques reprenant la numération des LXX (Septante) qui diffère pour la coupure de quelques Psaumes, sont ordinairement en retard d’un chiffre sur les bibles protestantes qui suivent, pour leur part, l’hébreu de la bible massorétique.
Rappelons que la numération fondée sur les Septante (3e siècle avant J.C) est plus ancienne. Celle s’appuyant sur le texte massorétique est relativement récente et n’a été introduite qu’aux premiers siècles de l’ère chrétienne. Le plus ancien témoignage du texte hébreu ne remonte pas au-delà du IX ème siècle de notre ère. Il s’agit d’un manuscrit copié en 895 par Moïse ben Asher ; et qui se voit aujourd’hui dans la synagogue karaïte du Caire (Dictionnaire Apologétique de la Foi Catholique de A. d’Ales, 1928 – fascicule XXIV, colonne 1958)
(3) 45, 7 dans les Bibles protestantes.
René Pellegrini
Mis sur un autre blogue le 24 août 2013
LA RECHERCHE DE DIEU
O Seigneur, mon Dieu,
qui donc pourrait vous chercher avec un amour pur et simple
sans vous trouver tout à son goût et à son gré ?
C’est vous, en effet, qui vous montrez en premier
et qui allez au-devant de ceux qui vous désirent.
NOTA BENE :
- Les Avis Et Maximes sont tirés des œuvres spirituelles de Saint Jean de la Croix
René Pellegrini
LES PROPHETIES SUR LA FRANCE – 1
Préliminaire
Les prophéties et les avertissements sur des événements futurs nous les trouvons dans la Révélation publique - la Bible, Ancien et Nouveau Testament - et dans la révélation privée. Celle-ci, est l’apanage d’âmes privilégiées bénéficiaires d’apparitions, de visions et d’extases : ce sont des grâces exceptionnelles. Elles sont davantage pour l’utilité du prochain que pour celles qui en bénéficient. Ces révélations ou prophéties privées lorsqu’elles sont de source divine ne contredisent jamais les prophéties de l’Ecriture Sainte, mais, dans le cours de l’histoire humaine, par l’annonce de circonstances temporelles particulières elles les confirment et les complètent. Les prophéties font partie de la vie spirituelle de l’Eglise.
Peut-on se fier aux prophéties privées ?
Leur source n’étant pas directement la révélation publique (la Bible) elles ne sont pas de foi divine, on peut y croire ou pas. Cependant, compte tenu de l’autorité ou de la qualité des personnes qui les ont émises, sous le regard de l’Eglise : Saints, Bienheureux, Vénérables et personnes de grande piété, il serait téméraire de s’y opposer.
Comment distinguer les vrais des faux prophètes ?
Deux critères d’appréciation sont donnés par Saint Paul pour permettre cette distinction : l’analogie de la foi et la soumission des prophètes
« (…) que celui qui a reçu le don de prophétie en use selon l’analogie de la foi » (Romains XII,6)
En conformité avec la foi, et éclairé par la lumière divine, les vrais prophètes confirment les textes canoniques ou éclairent certains événements surnaturels ayant des répercussions terrestres.
« (…) les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes. » (I Corinthiens XIV, 32)
Car Dieu est un Dieu de paix et non de discorde. Ces âmes privilégiées ne doivent pas sombrer dans l’enthousiasme des illuminés mais faire preuve de réflexion. Ils doivent savoir se contenir et ne pas diffuser à tout va, sans en référer, d’abord, aux personnes compétentes ayant le charisme et l’autorité nécessaires pour traiter et juger de la réalité de ces phénomènes de communications extraordinaires.
En dehors de ces deux critères d’appréciation, il faut conserver une grande prudence. En ce domaine, il est nécessaire, afin de ne pas être entraîné là où il ne faudrait pas aller, de se discipliner et d’adhérer à une règle stricte et protectrice : ne jamais anticiper le jugement de l’Eglise, c’est-à-dire s’en tenir à ses décisions en cette matière liée au surnaturel ou préternaturel, et dans laquelle on peut s’illusionner soi-même. Pour la bonne attitude sur cette question voir dans la catégorie « Illuminisme luciférien »
(A suivre…« Les prophéties sur la France – 2 »…si Dieu veut)
René Pellegrini
- Mis sur un blogue le 30 avril 2014
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ACTE DE REPARATION AU CŒUR IMMACULE DE MARIE
Cœur immaculé de Marie, nous voici prosternés devant Vous, nous, vos enfants ; nous voulons, par notre amour, réparer les offenses de tant de malheureux qui sont aussi vos enfants.
Nous vous demandons pardon pour ces pauvres pécheurs, qu’une ignorance coupable ou la passion rend aveugles, comme nous Vous demandons aussi pardon de nos manquements et de nos ingratitudes.
En hommage de réparation, nous croyons à votre dignité sublime et à vos très grands privilèges, aussi pour ceux qui n’y croient pas.
Nous vous remercions pour vos innombrables bienfaits, aussi au nom de ceux qui ne les connaissent pas.
Nous nous confions à Vous et nous Vous prions aussi pour ceux qui ne Vous aiment pas, qui n’ont pas confiance dans votre bonté maternelle, qui ne recourent pas à Vous.
Nous acceptons de bon cœur les épreuves que Dieu nous envoie, et nous Vous offrons nos prières et nos sacrifices pour le salut des pécheurs.
Convertissez, ô Mère, convertissez tant d’enfants prodigues, ouvrez-leur votre Cœur comme un refuge assuré, faites que leurs injures se changent en bénédictions, leur indifférence en prière, leur haine en amour.
Ah ! Faites que nous n’offensions jamais plus Dieu Notre-Seigneur, déjà tant offensé. Obtenez-nous, par vos mérites, la grâce de demeurer toujours fidèles à cet esprit de réparation et d’imiter la pureté de votre Cœur, votre humilité et douceur, votre amour de Dieu et du prochain.
Cœur immaculé de Marie, à Vous, louange, amour, bénédiction : priez pour nous maintenant et à l’heure de notre mort.
Ainsi soit-il.
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LES BUTS ANTICHRETIENS DE LA REVOLUTION
Avant d’expliquer ce qu’il faut véritablement entendre par contre-révolution, il convient, d’abord, de bien préciser ce qu’est la Révolution pour que le Notre Père de nous mette pas en contradiction avec cette Royauté demandée dans la prière enseignée par Notre-Seigneur.
De nos jours, dans son sens le plus courant, mais restrictif, elle désigne une révolution politique et l’organisation sociale et morale qu’elle fait émerger. Mais dans un sens plus élargi elle consiste, depuis 1789, à corrompre le christianisme et la société civile qui en est issue.
Si on consulte le Dictionnaire encyclopédique de la langue française, en substance nous avons la définition suivante :
« Evolution, changements importants (dans l’ordre moral, social, etc.), bouleversement d’un régime politique et social, le plus souvent consécutif à une action violente, par extension les événements, les actions qui aboutissent ou tendent à aboutir à ce bouleversement. »
S’il est vrai que la Révolution implique tous ces faits moraux, sociaux et politiques, cette définition ne nous dit rien sur les ressorts philosophiques et idéologiques qui la mettent en œuvre : la haine contre Dieu, contre Jésus-Christ, contre l’Eglise catholique et l’ordre chrétien. Voici quelques textes (loin d’être exhaustifs) de cette haine satanique inspiratrice de la Révolution dite française de 1789. (1) qui devraient faire réfléchir bien des catholiques qui continuent de lui apporter leur aide tout en chantant Alléluia à la messe dominicale, et en priant pour que le règne de Dieu vienne sur la terre, tout en soutenant des politiques et des politiciens qui ne visent qu’à mettre à l’écart le christianisme, à le corrompre ou à le détruire.
« Nous avons l’air de combattre pour la forme du gouvernement, pour l’intégrité de la constitution. La lutte est plus profonde : la lutte est contre tout ce qui reste du vieux monde, entre les agents de la théocratie romaine et les fils de 89. » (Le Franc-maçon Gambetta, le 1er juin 1877, recevant une délégation de la jeunesse)
« Le monde moderne est placé dans l’alternative : ou l’achèvement de la Révolution, ou un retour pur et simple au christianisme. » (Journal « La Révolution Française » de juin 1879)
« Notre principe à nous, c’est la négation de tout dogme ; notre donnée, le néant. Nier, toujours nier, c’est là notre méthode ; elle nous conduits à poser comme principe : en religion, l’athéisme ; en politique, l’anarchie ; en économie politique, la non propriété. » (Proudhon, cité par Dom Paul Benoît, La Cité Antichrétienne, deuxième partie, tome I, p.17)
« De tous les êtres maudits que la tolérance de notre siècle a relevés de leur anathème, Satan est, sans contredit, celui qui a le plus gagné au progrès des lumières et de l’universelle civilisation (…) Un siècle aussi fécond que le nôtre en réhabilitations de toutes sortes ne pouvait manquer de raisons pour excuser un révolutionnaire malheureux que le besoin d’action jeta dans les entreprises hasardeuses (…) Si nous sommes devenus indulgents pour Satan, c’est que Satan a dépouillé une partie de sa méchanceté et n’est plus ce génie funeste, objet de tant de haines et de terreur. (…) » (Dans le très bourgeois et universitaire Journal des Débats, du 25 avril 1855)
On pourrait multiplier ces déclarations sans équivoque de haine satanique contre Dieu, le christianisme et l’Eglise catholique, avec Barbusse, Rabaut-Saint Etienne, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Clemenceau, Oswald Wirth, etc. etc.
« A suivre… « Bien comprendre ce qu’est la Révolution ? – 2 »…si Dieu veut)
René Pellegrini
- C’est moi qui mets la note et en gras dans les textes.
(1) Révolution dite française car elle fut fomentée avec l’appui extérieure des loges maçonniques de la perfide Albion (c’est-à-dire l’Angleterre) en contact avec les loges maçonniques françaises. Une révolution est toujours affaire d’ingérence et de manipulations étrangères dans un pays. Au XVIIIe siècle, le but était, d’abord la destruction des monarchies catholiques pour, ensuite, s’attaquer plus facilement à l’Eglise catholique. Les révolutions dites arabes ne font que montrer comment, dans l’espace et dans le temps, s’enclenche le phénomène révolutionnaire. Les agitateurs utilisent et attisent certains mécontentements plus ou moins réels, font miroiter un avenir meilleur qui, dans le meilleur des cas, ne sera que temporaire car les vrais mobiles de ces ingérences, étant beaucoup moins agréables à terme, sont soigneusement dissimulés. Pour parler plus clairement, l’objectif non avoué des ingérences actuelles, sous couvert de terrorisme fabriqué et financé, étant l’accaparement des richesses proche-orientales et mondiales, et la mise en place de la République universelle, sous une dictature universelle, avec retour à l’esclavage. Les diverses instances à caractère mondialiste travaillent dans ce sens. Ne croyez surtout pas leurs boniments car, soit en fait face à de fieffés menteurs sans foi ni loi, soit on est confronté à des « idiots utiles » à qui on ne demande pas forcément d’être intelligents, mais surtout dociles, soit on se trouve en présence de parfaits crétins. Quand les catholiques français, et les autres, auront compris que la France appartient, d’abord, à Jésus-Christ et à ses préceptes – et non aux partis politiques laïcs et à leurs législations - le pays pourra se redresser : pas avant !
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Mis sur un autre blogue le 4 novembre 2013